La carrière DURU
Il s'agit sans conteste de la carrière la plus importante du réseau. Et de la plus abîmée aujourd'hui. Elle fut primitivement exploitée par la famille Taillefer/Tholozée, officiellement en 1848/49 mais déjà très "avancée", puis, par le Sieur Laboriat (ou Laboriol), reprise par Leclerc en 1861 suite à non paiement des loyers, et, à la mort de Leclerc, par Jean Baptiste Duru en 1898. Cependant, de très nombreux documents sont contradictoires entre eux, et les dates ne correspondent pas toujours...
Adjacente à la carrière Longevialle, elle comporte deux bouches de cavages (aujourd'hui fermées) et trois puits, "à grandes roues", tous comblés. A partir des deux bouches s'étirent deux rues principales grossièrement parallèles, et ne communiquant entre elles qu'au niveau du front de taille (transversal) et au fur et à mesure de l'avancement de ce dernier. Le passage existant au niveau du front de taille actuel étant éboulé depuis la fin des années 90 (ce passage avait été recreuse en 1992 par les carriers brasseurs...), il fallut se décider à recréer une galerie de communication, ce qui fut fait en 2005, au niveau des anciennes entrées, évitant ainsi un très long détour pour qui veut rejoindre l'une des galeries principales à partir de l'autre.
Adjacente à la carrière Longevialle, elle comporte deux bouches de cavages (aujourd'hui fermées) et trois puits, "à grandes roues", tous comblés. A partir des deux bouches s'étirent deux rues principales grossièrement parallèles, et ne communiquant entre elles qu'au niveau du front de taille (transversal) et au fur et à mesure de l'avancement de ce dernier. Le passage existant au niveau du front de taille actuel étant éboulé depuis la fin des années 90 (ce passage avait été recreuse en 1992 par les carriers brasseurs...), il fallut se décider à recréer une galerie de communication, ce qui fut fait en 2005, au niveau des anciennes entrées, évitant ainsi un très long détour pour qui veut rejoindre l'une des galeries principales à partir de l'autre.
Voie de roulage basse conduisant à un front de taille.
Rue principale
Rue principale, les premiers éboulements.
Ancienne rue permettant la communication entre les deux galeries principales de la carrière, dont le passage est aujourd'hui éboulé.
Seconde galerie principale, dont on aperçoit le front de masse au fond, et départ de la communication vers la première galerie principale à droite. (Aujourd’hui obstruée par éboulements...)
Il faut remarquer que 80% de cette carrière se trouve sous l'ancienne décharge, ce qui conduit à deux facteurs aggravants concernant l'état actuel des galeries:
-Fermentation des ordures ménagères, ayant a provoqué une élévation spectaculaire de la température en certains endroits de la carrière, gaz toxiques, galeries privées d'oxygène... D’où la "coloration" des parois sur certaines photos.
-Surpoids des terrains de surface par entassement des ordures puis recouvrement de terre, augmentant de façon substantielle le poids des ciels sur les bourrages et piliers, conjugué au manque de ventilation, fait que certains endroits de la carrière sont dans un état critique.
Petite galerie style "catacombes" conduisant aux "sources chaudes"...
La culotte.
Ces salles marquent la limite avec l'exploitation voisine.
Quartier de la S2: les galeries sont peu profondes...
...et assez propres dans l'ensemble.
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