Jeudi 3 Avril 2014
Pour qui l'ignorerais encore, (et il l'ignore lui même sans doute!) le Briquetier a dans son métier de nombreux avantages, dont celui de disposer, sans que le principal intéressé ne s'y attende, de temps libre inopiné, ce qui aura eu pour conséquences, de pouvoir passer la journée à la carrière dès le matin, en compagnie de son ami le Boiteux, fraîchement remis sur pieds...
La journée a incontournable ment commencé par un plein de matériaux au magasin de bricolage, matériaux indispensables à la poursuite des travaux souterrains entrepris.
Désespoir de Briquetier...
Les matériaux déchargés, nos deux amis ont pu ainsi entreprendre une bonne série de moulages, de boisseaux notamment. Ce fut l'occasion de démouler les pierres de parements coulées la semaine dernière, hélas sans plus de succès que les fois précédentes malgré un dosage en ciment blanc plus conséquent. L'expérience continue donc.
Pause (méritée?) à l'extérieur pour le Boiteux et le Briquetier.
L'après midi s'est étirée au rythme de la technique dite de la "tronçonneuse" initiée par le Briquetier pour continuer à dresser le sol du magasin dont la couche à retirer, il est vrai, à tendance à augmenter. De fait, il est possible d'extraire en cette occasion, de la pierre à hagues, ce qui n'est jamais un luxe!
On tronçonne pour commencer.
Un bon coup de houe bien placé!
Décollage du banc royal...
De fait, l'entreprise a bien avancé, d'autan plus à l'arrivée du Méticuleux qui n'est jamais avare de prêter ses bras à de telles entreprises, de même que Paulo arrivé peu après.
Progression rapide...
Bientôt la maçonnerie?
Gosier Pentu est arrivé pile poil pour subir les foudres du Briquetier à propos de vis noyés dans de l'enduit sur des pierres de parements... Cela valait le coup de venir!
La soirée s'est poursuivie tranquillement avec les confessions d'un tueur de lapin repenti, bien malheureux de ne plus trouver de longs cheveux blonds dans des endroits les plus improbables (...)
Le Briquetier à reçu un trophée du bon bricoleur, un mètre en or, signe de reconnaissance envers les maîtres ouvriers.